Ce que j’aurais aimé savoir avant d’entendre parler de Tradeshift
Je me souviens très bien de la première fois où j’ai croisé le nom Tradeshift. C’était lors d’un appel visio avec un ami DAF qui me lançait : « Tu connais Tradeshift ? Ils simplifient toute la gestion fournisseurs, les factures, les paiements… » À ce moment-là, je n’avais qu’une idée vague, et peut-être que vous aussi. Alors je me suis lancé, j’ai exploré la plateforme, et aujourd’hui je vous partage tout, sans jargon inutile, avec un brin de recul.
J’ai creusé : à quoi sert Tradeshift, exactement ?
Pour vous faire simple, Tradeshift, c’est une plateforme en ligne, pensée pour les entreprises qui veulent en finir avec les vieux tableaux Excel, les mails perdus et les relances interminables. On y gère les achats, les factures, les fournisseurs… et tout cela, dans une interface connectée, fluide, et franchement moderne. Si vous travaillez dans la finance, la logistique ou les achats, vous pourriez y gagner du temps… et quelques cheveux blancs en moins.
Ce que j’ai vu en m’y connectant
Je ne vais pas vous mentir, Tradeshift n’est pas un outil “plug-and-play” qu’on lance en 5 minutes. Mais une fois qu’on comprend la logique, tout devient plus naturel. L’interface est sobre, les menus sont bien pensés, et j’ai aimé l’idée qu’on puisse collaborer en temps réel avec des partenaires ou fournisseurs. C’est un peu comme si Slack rencontrait SAP, avec un soupçon de minimalisme à la danoise.
Des fonctionnalités que j’ai trouvées vraiment utiles
Ce que j’ai apprécié, c’est la manière dont Tradeshift centralise tout. Plus besoin de courir après les validations ou de chercher des bons de commande égarés : tout est là, visible, traçable. Parmi les points forts :
- la dématérialisation complète des factures, avec conformité légale (ça, c’est un vrai soulagement) ;
- un suivi intelligent des paiements, qui évite les malentendus ;
- la possibilité de connecter d’autres outils ERP ou logiciels métiers via API.
[featured_image size="large" class="custom-class"] Et puis il y a ce petit plus : l’écosystème. Tradeshift propose un réseau d’applications, presque comme un App Store pro, qui permet d’ajouter des fonctionnalités à la carte. Pratique, non ?
Mais tout n’est pas parfait non plus
Je suis toujours honnête dans mes retours : Tradeshift demande un investissement en temps pour le paramétrage initial. Ce n’est pas un outil qu’on active le lundi matin pour qu’il révolutionne tout le mardi. Il faut former les équipes, adapter les flux, accompagner le changement. Donc si vous êtes une petite entreprise sans beaucoup de ressources internes, cela peut paraître lourd au départ.
Si je devais vous conseiller
Demandez une démo. Vraiment. C’est ce que j’ai fait, et cela m’a permis de mieux cerner les forces de Tradeshift dans un contexte réel. Et si vous travaillez dans un environnement multisites ou international, vous serez sans doute bluffé(e) par le potentiel de rationalisation.